Megannie Hors ligne

| Posté le 28 Nov 2020 à 14h22  ATTENTION :
La bonne réponse a peut-être ou pas été donnée avec la 1ère image, mais comme 5 personnes peuvent gagner des points, voici un agrandissement pour poursuivre le jeu.
C'est quoi ce mélange, ce n'est pas une salade de mots
Détail 2

Ce message a été modifié par Megannie le 28/11/2020 à 14h23 |
Denis42 Hors ligne

| Posté le 28 Nov 2020 à 14h30  Le Pugiliste des Thermes
|
Henry83 Hors ligne

| Posté le 28 Nov 2020 à 15h23  Le Pugiliste des Thermes 
|
Kael60 Hors ligne

| Posté le 28 Nov 2020 à 18h01  Le pugiliste des Thermes
|
Megannie Hors ligne

| Posté le 28 Nov 2020 à 20h17  
Pugiliste des Thermes
Le Pugiliste des Thermes (ou Boxeur des Thermes) est une sculpture grecque antique en bronze d'une hauteur de 1,20 m, probablement une œuvre classique du IVe siècle av. J.-C., figurant un boxeur après le combat. Ila été trouvé dans les thermes de Constantin, à Rome.
Il est conservé au palais Massimo alle Terme (qui fait partie du Musée national romain), à proximité des thermes de Dioclétien et de la gare centrale de Rome.
Découverte
La statue est l’un des deux bronzes, l’autre étant le Prince hellénistique non identifié, découverts sur les pentes du Quirinal à un mois l'un de l'autre en 1885, probablement appartenant au contexte des thermes de Constantin. Il semble que les deux statues avaient été soigneusement enterrées dans l'Antiquité. L'archéologue Rodolfo Lanciani, présent lors de la découverte de la sculpture, a écrit :
« Au cours de ma longue carrière dans le domaine actif de l'archéologie, j'ai été témoin de nombreuses découvertes. J'ai connu surprise après surprise j'ai rencontré parfois et de façon inattendue de vrais chefs-d'œuvre, mais je n'ai jamais ressenti une impression aussi extraordinaire que celle créée par la vue de ce magnifique spécimen d'athlète semi-barbare, sortant lentement du sol, comme s'il sortait d'un long repos après ses combats galants. »1
Description
Le style est très réaliste, dans le style de Lysippe, en vraie dimension, représentant l'attitude d'un instant : l'homme est assis sur un rocher juste après un combat, se repose, tournant la tête vers une personne debout à ses côtés. Il est exténué par le combat et porte de nombreuses blessures, figurées par des incrustations de cuivre rouge.
Le pugilat était une sorte de boxe antique : des lanières de cuir enroulées autour des mains tenaient lieu de gants.
Il porte un pagne et des cestes — gants constitués de lanières de cuir épais enroulées autour des doigts et laissant libre le pouce, avec un crispin bordé de fourrure. Le corps ne porte pas de trace de blessure au bras, mais le visage est marqué par les coups : l'oreille est écrasée (oreille "en feuilles de chou"), le nez cassé et le visage porte des cicatrices.
Visage, avec les incrustations figurant les blessures

Le pugiliste est une œuvre en bronze, mais d'un très grand raffinement technique dans la recherche de polychromie. Si les yeux, qui devaient être incrustés, ont disparu, de nombreuses petites incrustations de cuivre rouge figurent le sang des blessures, sur les doigts et la tête. Le mouvement de la tête fait également voleter des gouttelettes, d'où la présence aussi d'incrustations sur l'avant-bras et la cuisse droits.
Un nettoyage récent a mis en évidence des zones polies sur l'extrémité du pied droit et les gants et les doigts de la main gauche, caressées en signe de vénération et témoignant de la considération dont la statue a joui au cours des siècles.
Attribution
La statue porte des marques au niveau du gant de la main gauche, un temps interprétées comme la signature « Apollonios, fils de Nestor » - sculpteur grec actif au 1er siècle av. J.-C.
Contestée, cette lecture a été infirmée par un examen plus approfondi, qui a montré qu'il s'agissait en réalité de traces de corrosion du bronze. L'un des doigts du pied gauche porte la lettre alpha, sans doute le poinçon de l'atelier ayant assuré la fonte.
Mains du pugiliste
D'un point de vue stylistique, le Boxeur, avec sa musculature bien marquée et son rendu réaliste des blessures dues à la boxe, semble l'archétype du style hellénistique par sa recherche de naturalisme, voire l'exacerbation des sentiments lisibles tant sur le visage que dans le mouvement de l'homme. Cependant, des considérations techniques et l'influence lysippéenne nette ont poussé des auteurs à voir dans la statue une œuvre du maître lui-même ou de son frère Lysistratos, célèbre pour son ingéniosité technique. À tout le moins, l'épaisseur du bronze interdirait de voir en l'œuvre une réalisation hellénistique; le travail des parties rapportées et les yeux ajoutés de l'intérieur rattacheraient l'œuvre au IVe siècle av. J.-C.
Ce message a été modifié par Megannie le 28/11/2020 à 20h24 |
Megannie Hors ligne

| Posté le 28 Nov 2020 à 20h29  Le seul et unique titre est Pugiliste des Thermes
Un seul a mis le titre exact, les autres ont mis "le" devant.
Je compte bon pour cette fois-ci, mais du coup celui qui a le bon titre aura ses points doublés.
Il faut faire attention lorsque vous regardez sur votre ami, il peut être aussi votre ennemi.

Ce message a été modifié par Megannie le 28/11/2020 à 20h37 |
Jaguar Hors ligne

| Posté le 29 Nov 2020 à 10h58  J'avais mis Le boxeur des Thermes.
Ca ne compte pas ?
|
Kael60 Hors ligne

| Posté le 29 Nov 2020 à 11h38  Coucou Meg
Sur ton classement tu as dû faire une erreur
Tu as mis 6 points à Robaud56
|
Megannie Hors ligne

| Posté le 29 Nov 2020 à 13h29  Non Kael, j'ai mis 6 points à Kleber, c'est le seul qui a mis la bonne réponse (sans le "le") c'est pour cela que j'ai doublé les points, j'ai précisé plus haut.
Jaguar, non cela ne compte pas, désolée. Ce n'est pas le vrai titre
Ce message a été modifié par Megannie le 29/11/2020 à 13h30 |
Kael60 Hors ligne

| Posté le 29 Nov 2020 à 18h22  Ah ok d'acc
|
Megannie Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 19h31  Edition 3
Image n°9 : un monument (son nom en anglais svp)
Détail 1

|
Henry83 Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 19h56  Le Flatiron Building à New York
|
Kael60 Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 20h27  Flatiron Building
|
Filou79 Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 20h29  Le Flatiron Building de New York
|
Denis42 Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 20h39  Le Flatiron Building à New York
|
Robaud56 Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 20h41  Flatiron Building(anciennement Fuller Building)
|
Megannie Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 21h02  ATTENTION :
La bonne réponse a peut-être ou pas été donnée avec la 1ère image, mais comme 5 personnes peuvent gagner des points, voici un agrandissement pour poursuivre le jeu.
Détail 2

|
Henry83 Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 22h12  Flatiron Building 
|
Denis42 Hors ligne

| Posté le 30 Nov 2020 à 22h14  Flatiron Building
|
Megannie Hors ligne

| Posté le 01 Déc 2020 à 09h33  
Flatiron Building
Le Flatiron Building, anciennement « Fuller Building », est un immeuble de bureaux situé dans l'arrondissement de Manhattan à New York, plus précisément dans le quartier de Midtown, au carrefour de la 23e rue, 5e avenue et Broadway, face à Madison Square. Il compte vingt-deux étages et mesure 87 mètres de hauteur. Cet immeuble a donné son nom au quartier qui l'entoure, le Flatiron District.
Le terme « flatiron » signifie « fer à repasser ». Sa forme caractéristique est due au croisement à cet endroit de la 5e avenue avec Broadway qui est la seule avenue de New York ne respectant pas le plan d'alignement avec croisements à angles droits des autres artères. En conséquence, il a fallu construire un immeuble en pointe à l'intersection
Histoire
L'immeuble est construit selon un plan triangulaire, dessiné par l'architecte américain Daniel Burnham, qui appartenait à l'école de Chicago. Ce dernier a choisi le style Beaux-Arts et développé les ordres grecs classiques. Les trois façades sont divisées horizontalement en trois parties. Le Flatiron building fut construit en deux ans. Il pèse environ 332 000 tonnes. Il a une structure en acier.
Le Flatiron était l'un des plus hauts gratte-ciels de Manhattan lors de son achèvement en 1902 mais n'a jamais été le plus haut du monde.
L'appartement du dernier étage a été construit après le reste de l'édifice.
Le Flatiron building est classé site historique national (National Historic Landmark) en 1989
Dans la culture populaire
L'immeuble est utilisé dans les films Spider-Man : en effet, il abrite le Daily Bugle, le journal où travaille Peter Parker. Toujours dans l'univers des comics, un des étages sert de quartier général aux "P'tits Gars" dans la série The Boys publiée chez Dynamite Entertainment.
Dans le film L'Adorable Voisine (195 , Kim Novak, la sorcière, séduit James Stewart au sommet de cet immeuble. Dans Usual Suspects (1995), un plan montre l'immeuble dans toute sa hauteur. Dans le film Godzilla (199 , le Flatiron Building est détruit accidentellement par l'armée américaine. Dans le film Monsieur Popper et ses pingouins, le bureau de monsieur Popper est situé dans l'immeuble, ce dernier étant agent immobilier, il cherche à l'acquérir. Son image est également présente dans la trilogie John Wick.
La marque Electro-Harmonix propose une pédale d'effet de fuzz pour guitare, appelée Flatiron Fuzz, portant un dessin stylisé de l'immeuble.
L'immeuble apparaît dans les jeux vidéo Grand Theft Auto IV et Grand Theft Auto: Chinatown Wars sous le nom de Triangle Building.

J’avais demandé le titre en anglais … « le » est-ce de l’anglais ? Je ne crois pas
Ce message a été modifié par Megannie le 01/12/2020 à 09h35 |
Megannie Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 18h50  Edition 3
Image n°10 : une peinture
Détail 1

|
Jaguar Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 18h53  Samson et Dalila
|
Kleber Modérateur Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 18h59  Samson et Dalila
|
Kael60 Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 19h00  Samson et Dalila
|
Denis42 Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 19h06  "Samson et Dalila" de Paul Rubens
|
Robaud56 Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 20h16  Samson et Dalila
|
Henry83 Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 20h29  Mince vu trop tard 
|
Megannie Hors ligne

| Posté le 05 Déc 2020 à 21h41  
Samson et Dalila
Huile sur panneau de 52,1 cm × 50,5 cm
Tableau du peintre baroque flamand Pierre Paul Rubens réalisé entre 1609 et 1610.
Rubens dépeint le moment où, après s'être endormi sur les genoux de Dalila, un jeune homme coupe les cheveux de Samson. Samson et Dalila sont dans une pièce sombre, qui est principalement éclairée par une bougie tenue par une vieille femme à la gauche de Dalila.
Dalila est représentée avec tous ses vêtements, mais avec ses seins exposés. Sa main gauche est au-dessus de l'épaule droite de Samson, alors que son bras gauche est drapé sur ses jambes. L'homme coupant les cheveux de Samson croise ses mains, ce qui est un signe de trahison. Des soldats philistins peuvent être vus à l'arrière-plan droit du tableau. La niche derrière Dalila contient une statue de la Vénus, la déesse de l'amour, et son fils, Cupidon. Notamment, la bouche de Cupidon est liée, plutôt que ses yeux. Cette statue peut être considérée comme représentant la cause du destin de Samson et l'outil des actions de Dalila.
La peinture représente un épisode de l'histoire de l'Ancien Testament de Samson et Dalila. Samson était un héros hébreu connu pour avoir combattu les Philistins. Tombé amoureux de Dalila, qui a été soudoyée par les Philistins, Samson lui révèle le secret de sa grande force : ses cheveux non coupés. Sans sa force, Samson est capturé par les Philistins. La vieille femme debout derrière Dalila, fournissant une lumière supplémentaire pour la scène, n'apparaît pas dans le récit biblique de Samson et Dalila. On pense qu'elle est une proxénète, et les profils adjacents d'elle et de Dalila peuvent symboliser le passé de la vieille femme et l'avenir de Dalila.
Symbolisme
La niche située derrière Dalila renferme une statue de Vénus, la déesse de l'amour, et son fils, Cupidon, ce qui semble symboliser le destin de Samson. La vieille femme qui se tient derrière éclaire et surveille la scène mais n'apparaît pas dans le récit biblique de Samson et Dalila. Les historiens de l'art la considèrent généralement comme une maquerelle qui représenterait l'avenir de Dalila. Le Philistin qui coupe les cheveux de Samson a les mains croisées, signe de sa tromperie.
La scène est éclairée par des bougies qui mettent en relief l'abandon total de Samson, le point central du tableau étant par ailleurs la musculature puissante de son dos. On peut noter le contraste entre cette expression de force physique et la position presque fœtale du héros. Les deux personnages principaux se laissent faire et ce sont les personnages secondaires qui agissent.
Histoire de l'œuvre
Le tableau fut commandé à Rubens par Nicolaas Rockox Jr, un collectionneur d'art ami de Rubens et échevin d'Anvers en Belgique, pour décorer sa maison.
L'œuvre fut vendue lorsque Rockox décéda en 1640, pour finalement faire partie, au XVIIIe siècle, de la collection du Liechtenstein Museum à Vienne en Autriche, avec un autre chef-d'œuvre de Rubens, Le Massacre des Innocents. Le tableau fut vendu aux enchères en 1980 chez Christies, acheté par la National Gallery de Londres pour 5 millions de dollars, soit un peu plus de 3,2 millions d'euros.
Pendant longtemps, des doutes ont subsisté sur l'attribution du tableau à Rubens. Lorsque la famille princière du Liechtenstein acheta l'œuvre au début du XVIIIe siècle, le tableau était alors attribué à Jan van den Hoecke, l'un des nombreux élèves de Rubens dans son atelier d'Anvers. Par la suite, le tableau fut attribué au peintre néerlandais Gerrit van Honthorst qui, comme Rubens, travailla à Rome dans l'ombre du Caravage au début du XVIIe siècle.
Au XXe siècle, l'artiste et érudite Euphrosyne Doxiadis, spécialiste des Portraits du Fayoum, perpétua ce doute en remettant en cause l’authenticité de l’œuvre, avançant qu’elle aurait été peinte plusieurs siècles plus tard. Elle expliquait que le tableau différait par certains détails de ceux réalisés à l'époque de Rubens dans la mesure où il n'utilisait pas la technique de lustrage communément employée pour la peinture à l'huile à cette époque. Elle soulignait en outre qu'il n'existait aucun document sur la provenance de l'œuvre entre 1641 et 1929.
Finalement, une datation par dendrochronologie a confirmé que le tableau datait bien de l'époque de Rubens et son attribution au Maître est désormais admise par la plupart des historiens de l'art.

Ce message a été modifié par Megannie le 05/12/2020 à 21h44 |
Megannie Hors ligne

| Posté le 08 Déc 2020 à 11h04  Edition 3
Image n° 11 : une sculpture
Détail 1

Ce message a été modifié par Megannie le 08/12/2020 à 11h05 |
Kleber Modérateur Hors ligne

| Posté le 08 Déc 2020 à 11h29  Dog Puppy
|